Et puis après une grosse peur d'ouvrir ce livre je suis en plein dans "La Mort est mon métier", de Robert Merle, auteur dont j'ai dit, dans un autre post ici, combien il m'impressionnait. C'est le cas une fois de plus. L'empathie pour ce pauvre petit enfant dont on sait qu'il va devenir l'un des pires nazis est totale, et totalement troublante. L'écriture est décidément de la dynamite.