Construire un pays imaginaire : Atelier d'écriture sur plusieurs séances avec une 6e à Rugles (Normandie) en 2014. Construction ensuite d'une maquette de ce pays avec l'association La Source créée par le peintre Gérard Garouste.
Construire un monde en paix : Résidence d'auteur avec 16 classes de primaire, avec Pascale Perrier, en Thiérache du Centre (Aisne), de janvier à mai 2018. Chaque classe imagine un pays avec toutes ses caractéristiques, puis ces pays interagissent entre eux. Un thème riche et porteur! Un livre en est issu. Construire un monde heureux : Résidence d'auteur avec 8 classes de primaire de Pont-Audemer, sur l'année scolaire 2019. Un livre en est issu. |
Ateliers d'écriture en milieu scolaire : collège Ste Marie St Vincent (Paris), collège Pablo Neruda (Evreux)…
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En milieu associatif et à l'initiative de bibliothèques : amener des jeunes à apprivoiser l'écrit et à découvrir leur potentiel.
Ateliers d'écriture
Depuis 15 ans, j’anime des ateliers d'écriture, après avoir suivi moi-même durant un an un atelier chez Aleph, à Paris.
Un atelier est toujours un partage fort. On donne, on reçoit. Les participants réalisent combien ils sont capables de créer, et c'est là pour moi la plus belle émotion.
J'ai déjà mené des ateliers d'écriture :
- Dans des écoles et des collèges, à Paris et en Normandie (écriture en commun d'une nouvelle par des élèves faibles en français, pour leur redonner confiance en leurs capacités de création au lycée Augustin Hébert en 2010, constitution avec les élèves d'une plaquette sur les violences scolaires au collège Pablo Neruda en 2009…)
- En milieu associatif (avec des jeunes vivant en foyer)
- En milieu carcéral (maison d'arrêt d'Evreux) écriture d'un livret sur la parentalité
- Avec des publics de personnes valides et handicapées : avec l'association Ancre, et l'AFTC27 (Association Française des Traumatisés crâniens et de leurs familles)
Depuis 15 ans, j’anime des ateliers d'écriture, après avoir suivi moi-même durant un an un atelier chez Aleph, à Paris.
Un atelier est toujours un partage fort. On donne, on reçoit. Les participants réalisent combien ils sont capables de créer, et c'est là pour moi la plus belle émotion.
J'ai déjà mené des ateliers d'écriture :
- Dans des écoles et des collèges, à Paris et en Normandie (écriture en commun d'une nouvelle par des élèves faibles en français, pour leur redonner confiance en leurs capacités de création au lycée Augustin Hébert en 2010, constitution avec les élèves d'une plaquette sur les violences scolaires au collège Pablo Neruda en 2009…)
- En milieu associatif (avec des jeunes vivant en foyer)
- En milieu carcéral (maison d'arrêt d'Evreux) écriture d'un livret sur la parentalité
- Avec des publics de personnes valides et handicapées : avec l'association Ancre, et l'AFTC27 (Association Française des Traumatisés crâniens et de leurs familles)
Pourquoi animer des ateliers pour les personnes handicapées?
Je suis tombée dans le handicap quand j’étais petite : mon frère Didier, de 12 ans plus âgé que moi, était aveugle, et en partie paralysé. Il a vécu comme vivent les fleurs mal arrosées. Manque d’amour, manque de confiance en lui… Il allait de foyer en foyer, passait d’une amitié passionnée à la désillusion totale à une vitesse qui le foudroyait.
C’est la vitesse, aussi, qui l’a tué : celle d’un chauffard, une nuit.
Les regards des gens, posés sur lui comme s’il était un Ovni, me sont entrés dans la chair et n’en sortiront jamais.
J’ai envie de changer ces regards.
De faire se rencontrer les gens.
De bousculer l’idée de normalité.
Je suis tombée dans le handicap quand j’étais petite : mon frère Didier, de 12 ans plus âgé que moi, était aveugle, et en partie paralysé. Il a vécu comme vivent les fleurs mal arrosées. Manque d’amour, manque de confiance en lui… Il allait de foyer en foyer, passait d’une amitié passionnée à la désillusion totale à une vitesse qui le foudroyait.
C’est la vitesse, aussi, qui l’a tué : celle d’un chauffard, une nuit.
Les regards des gens, posés sur lui comme s’il était un Ovni, me sont entrés dans la chair et n’en sortiront jamais.
J’ai envie de changer ces regards.
De faire se rencontrer les gens.
De bousculer l’idée de normalité.