L'extrait ci-dessus est à retrouver dans la critique très fouillée de la collection, sur le site l'heure de lire, ici
Collection de romans écrits par Sylvie Baussier
Moi, le Minotaure, parution le 20 août 2020
Moi, Ligia, Sirène, parution le 20 août 2020
Moi, Polyphème, cyclope, parution janvier 2021
Moi, Méduse, parution janvier 2021
Moi, Cerbère, gardien des enfers, 3 février 2022
Moi Charybde, piégée avec Scylla, 3 février 2022
Moi, Arachné, tisseuse, janvier 2023
Moi, Chiron, centaure, janvier 2023
Et la voix des femmes !
Moi, Pandore, la première femme, 2024
Moi, Pénélope, reine d'Ithaque, 2024
Editions Scrineo
La présentation de cette collection sur le site des éditions Scrineo en cliquant sur ce lien
Et ici les dossiers pédagogiques correspondant à ces romans, pour les enseignants
Moi, Minotaure, sélectionné pour le prix des Incorruptibles 2021-2022 :-) Les infos sur cette sélection des Incos ici et là, sur le site des Incos
Moi, le Minotaure est aussi sélectionné pour le Grand prix des lecteurs de la PEEP 2021, ici et pour le prix 2021-2022 de la ville d'Aubervilliers
Moi, Méduse est sélectionné pour le prix intercommunal 2022 des grandes terres, près de Lyon, pour le prix du livre jeunesse de Grimaud 2022, le défi Babelio junior 2022-2023 et reçoit le 2e prix Littérature et Antiquité jeunesse niveau 6e-5e, ici
Moi, Polyphème, cyclope, sélectionné pour le prix de la ville de La Garde, 2021-2022 et pour le prix Imaginalire d'Epernay, ici
Moi, Méduse fait partie de la sélection Opalivres 2021, ici
Moi, Arachné, la tisseuse, est sélectionné pour le Grand prix des jeunes lecteurs de la PEEP 2024, ici
Un super article sur plusieurs titres de la collection des Monstres de la mythologie sur le blog Un livre Un thé, ici
La vidéo coup de cœur concoctée par la médiathèque de Valognes au sujet de Méduse est ici
Interview sur la collection Mythologie que j'écris chez Scrineo ici
Prix Littérature jeunesse Antiquité 2024 pour "Moi, Arachné, la tisseuse", ici
Des jeunes de 6e présentent "Moi, le Minotaure":
https://www.youtube.com/watch?v=7-o1D68eQBE
Une chouette critique en vidéo de "Moi, Charybde, piégée avec Scylla" à partir de la minute 14 des Indélivrables, en cliquant sur ce lien
"Un roman plein d'émotions différentes qui m'a plu et où l'on apprend des choses surprenantes !" Témoignage de jeune lecteur dans Mon Quotidien, après une lecture en avant-première
Sur le site La Mare aux mots: "[…] Sylvie Baussier nous propose un récit original en nous contant la vie et le quotidien de Ligia, une sirène transformée contre son gré. En donnant la parole à ce personnage, c'est toute la mythologie que l'autrice remet en question. En effet, ici, Ulysse et Orphée sont relégués au second plan, tandis que Ligia et sa sœur accèdent au rang de personnages principaux. On découvre leur quotidien, leurs doutes, leur malédiction. C'est un texte touchant et intelligent qui questionne la place des monstres dans les histoires et le regard que nous portons sur les personnages "hors norme" ou en marge […]."
Toute la critique de "Moi, le minotaure" sur le site Livre addict, ici
"Moi, le Minotaure est non seulement une excellente initiative, mais aussi un récit qui vaut réellement le coup." (2021) Toute la critique, très fouillée, de "Moi le Minotaure" sur le blog Loticadream, ici
Super critique de Moi, Pénélope, reine d'Ithaque, sur le blog Ma bibliothèque idéale :
"Bref, voilà une façon très originale et intéressante d’aborder ces mythes ultra-connus : par le biais de biographies racontées à la première personne, le jeune lecteur découvrira un autre aspect de l’histoire, une façon différente de voir les choses… Merveilleuse idée pour élargir l’esprit et l’intelligence de nos enfants !Sylvie Baussier écrit remarquablement bien, elle réussit la prouesse de plonger ses lecteurs au coeur de l’action tout en les faisant prendre de la distance et réfléchir. Un dossier documentaire et des jeux en fin d’ouvrage complètent ces livres si bien construits qu’on rêve que la collection se poursuive longtemps !
Mention spéciale de ma fille de 9 ans pour les couvertures en miroir illustrées par Tristan Gion !"
"Outre la qualité des illustrations de la couverture et des pages intérieures, qui présentent les personnages avant le récit proprement dit, j'ai apprécié ce roman grâce à la belle plume de l'autrice. Adopter le point de vue du Minotaure n'est pas nouveau (Borges le fait dans une de ses nouvelles), mais le récit est ici servi par un style très évocateur, qui sait très bien poser ambiances, paysages, couleurs et textures de la Crète minoenne. Le suspense est bien entretenu par l'ignorance et la bonté du personnage, qui se heurte à la fatalité et à l'incompréhension des siens. Au risque de devenir peu à peu la bête monstrueuse que les autres pensent qu'il est. " Toute la critique de Moi, le Minotaure sur le blog Coin des lecteurs, ici
"Une collection très originale, qui revisite la mythologique grecque. Une belle réussite !" Toute la critique détaillée de "Cerbère, gardien des enfers" sur le blog Aziquilkit, ici
"J'ai beaucoup aimé découvrir la fratrie de Cerbère, et le "lien" très ironique qu'il a avec Héraclès ! L'idée de donner à chacune des 3 têtes ses pensées propres est très intéressante. En revanche, je trouve l'autrice très dure avec Hadès !... Les pages documentaires et les petits jeux à la fin du livre sont également une bonne idée. 16/20" Cette critique et d'autres concernant "Moi, Cerbère, gardien des enfers" sur le site de Livraddict, ici
Caroline Mrissa (documentaliste) – 22-09-2020
Un vrai coup de coeur en effet pour ce roman au point de vue original et inédit. L’histoire est
racontée par le monstre lui-même et c’est ce qui fait la grande force du roman. Le dilemme
subi par Astérios/Minotaure est très intéressant, il nous invite à nous interroger sur notre
rapport à la différence, sur l’injustice. Le roman est très bien écrit mais reste accessible aux
plus jeunes. La lecture n’est pas trop longue et correspond bien à la tranche d’âge 9-12 ans.
J’ai apprécié la couverture (quelle bonne idée ce reflet) ainsi que la présentation des
personnages, la partie documentaire et le cahier de jeux.
Je vais proposer ce livre à mes élèves, notamment en 6ème car ils travaillent sur le thème
des monstres en français. C’est un thème porteur, très en vogue en ce moment !! J’envisage
aussi de le proposer pour un achat de séries, mais il reste un peu cher je pense pour le
budget des collègues de français (10,90€ x 25 cela chiffre vite).
Enfin, mon garçon de 9 ans a lu aussi le roman, il avait vu sa présentation dans « Mon
quotidien », il l’a lu d’une traite et a beaucoup aimé. Il a apprécié la présentation illustrée
des personnages au début car dans la mythologie les filiations ne sont pas toujours
évidentes.
J’envisage d’acheter pour le CDI de mon collège « Moi, Ligia, sirène » et « Moi, Cerbère,
Gardien des Enfers ».
Eowyne 86 (professeur documentaliste - collège) – août 2020
Adepte de littérature jeunesse et de mythologie, j'ai été ravie de recevoir ce livre via
NetGalley qui est le premier de la nouvelle collection Scrinéo Mythologie. L'originalité ?
Donner la parole aux monstres que l'on a tendance à oublier sauf pour mettre en avant les
héros qui les combattent. Premier titre donc : Moi, le Minotaure. Le narrateur est Astérios,
Prince de Crète qui ne comprend pas pourquoi tout le monde le fuit même sa propre famille
jusqu'à ce qu'il découvre son apparence : mi-homme mi-taureau. Il va alors enquêter pour
comprendre pourquoi il est devenu ainsi. Mais ceci n'est pas au goût de son père qui décide
de l'enfermer dans un labyrinthe. Est-il responsable de son aspect ? Est-il un être mauvais ?
Que va-t-il devenir ? Un roman à lire dès 10 ans qui permet d'apprendre la mythologie tout
en traitant de sujets de société : la différence, la trahison, les secrets de famille à hauteur
d'enfant car nous suivons le Minotaure sur plusieurs années et notamment son enfance.
Sylvie Baussier a un style toujours aussi fluide, agréable et même poétique. Un vrai coup de
coeur donc pour ce roman à paraitre le 20 août et à mettre entre toutes les mains.
"Au-delà de la mise en avant intéressante de la mythologie, je trouve vraiment bien de mettre les jeunes lecteurs en position de questionnement par rapport à ce qu'est un méchant, comment et pourquoi on agit mal. Sylvie Baussier n'essaie pas de justifier les crimes commis, elle donne par contre des explications sur comment ces enfants sont devenus des monstres, tout en racontant la vraie mythologie, même si c'est par les yeux du monstre." Toute la critique de Moi, Ligia, sirène sur le blog Les lectures de Sophie, ici
"Encore une fois, Sylvie Baussier transmet un message simple, mais crucial aux plus jeunes : les apparences sont souvent trompeuses ! Elle va néanmoins plus loin en révélant les raisons qui poussent Ligia à piéger les marins. Après tout, elle est la victime d’une malédiction. Dès lors, qui est le méchant de l’histoire ? Y en a-t-il seulement un ? Autant de sujets de réflexion sur lesquels les enfants pourront s’attarder après une lecture rapide et sans temps morts. " Toute la critique de Moi, Ligia, sirène sur le blog Les Fantasy d'Amanda, ici
"Après le très réussi "Moi, le Minotaure", je poursuis ma découverte de cette collection coup de coeur. Comme pour le premier opus, je me suis laissée séduire par les illustrations de Tristan Gion et le style de Sylvie Baussier. La recette fonctionne toujours aussi bien avec une large partie fiction et une petite partie documentaire. J'ai encore appris beaucoup ! J'espère réellement que ce petit ouvrage passera dans de nombreuses mains d'enfants de 6ème qui doivent étudier la mythologie car la clarté du propos désacralise réellement la mythologie qui est complexe de prime abord. Encore une belle réussite, alors vivement les prochains titres ! Toute la critique de la collection La mythologie vue par les monstres sur le blog de Ludivine Bon
"J’ai commencé par lire sur la sirène, car c’est le mythe que je connaissais le mieux entre les deux ouvrages disponibles. Dans moi, Ligia Sirène de Sylvie Baussier, nous parlons des sirènes. Pas les sirènes, avec des queues de poisson, mais bien celles qui sont présentent dans la mythologie grecque.
J’ai trouvé ce livre très intéressant, car il permet d’une part de raconter et de faire découvrir la mythologique Grecque aux enfants. Mais en plus, cela nous permet de nous imaginer ce que les méchants auraient pu ressentir. On connait rarement les sentiments des méchants dans les histoires en général, parfois ils sont vraiment méchants, mais d’autre c’est les circonstances qui l’ont rendu méchant. J’ai trouvé ça intéressant d’imaginer ce qu’ils auraient pu ressentir." Toute la critique de Moi, Ligia, sirène ici
"J’avais une vision très sombre du Minotaure et ce roman m’a permis de revoir ma vision de ce personnage, je me suis finalement dit que ce n’était pas de sa faute ce qui lui est arrivé. Et j’ai eu beaucoup plus empathie pour lui que dans mon souvenir ou il me paraissait être une créature assez cruelle." Toute la critique de Moi, le Minotaure, sur le blog La pomme qui fait du rock, ici
"[…] En conclusion : Un récit court mais riche, qui nous dévoile avec finesse la psychologie du Minotaure et comment s’est construit son mythe. Sylvie Baussier nous invite à rendre à la bête son humanité et nous fait réfléchir sur le véritable monstre de cette histoire. Elle réussit à apporter une touche de modernité à ce récit millénaire. Et c’est une vraie réussite !" Toute la critique, très fouillée, de "Moi, le minotaure" est sur le site Les tribulations de Miss Chatterton, ici
Critique d'une prof-doc en septembre 2021:
"J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman! Pour une fois qu'on a le point de vue du monstre dans les histoires de la mythologie! C'est original, fluide, émouvant. L'intrigue est haletante !" Toute la critique de Moi, Minotaure est à retrouver sur le blog Capocapes, ici
[…] J’ai beaucoup aimé la plume de l’autrice. Elle est à la fois accessible et chantante, entraînante et poétique tout en possédant une grande fluidité. Elle arrive en une centaine de pages à nous faire passer par une multitude d’émotions tout en nous happant dans son histoire. L’injustice que subissent Ligia et sa sœur est révoltante si bien qu’on ne peut que s’attacher à ces monstres pourtant déshumanisés. L’histoire de Ligia est touchante, poignante même. Quand on découvre son récit, on peut facilement comprendre pourquoi elle est devenue ce qu’elle est et faire preuve d’empathie face à cette créature tueuse d’hommes. C’est une super idée de découvrir le point de vue du méchant et de se rendre compte qu’il ne l’est pas forcément, que tout n’est pas blanc ou noir mais plutôt une question de point de vue. Avec ce tome, l’autrice veut pousser son lectorat à la réflexion et à la compréhension, à l’ouverture d’esprit et à la remise en question et elle y arrive avec brio.[…] Pour lire toute la critique de "Moi, Ligia, sirène", cliquer sur ce lien vers le blog Phenixweb
"J'aime beaucoup cette couverture qui représente bien l'histoire qui nous est racontée dans ce roman, on se plonge facilement dans la peau de Ligia et j'ai aimé la voir se battre pour à la fois ses convictions mais aussi et surtout pour survivre. Il se lit très rapidement et les explications à la fin sont un réel plus pour tous ceux qui aiment la mythologie et en découvrir les secrets qu'on ne connait pas forcément." Toute la critique de Moi, Ligia, Sirène" sur le blog Les lectures de Mylène, ici
Critique complète parue dans Inter CDI n°288
" […] En conclusion : Un roman court, parfait pour la jeunesse, qui démontre que l’on peut encore être original en évoquant les récits mythologiques grecs. Sylvie Baussier nous dépeint des sirènes fatiguées de manger les humains et nostalgiques de leur vie terrestre, au lieu de monstres sanguinaires charmeurs de marins. Une vision rafraîchissante, quoique pas très joyeuse du mythe. Vivement la lecture des autres tomes de la collection !" Cliquez ici pour lire tout l'article de Miss Chatterton sur Moi, Ligia, sirène
"Une histoire jeunesse courte mais intense, racontée par Méduse ! […] Ah Méduse, celle-là, je pense que tout le monde la connaît plus ou moins pour ses apparitions dans des romans ou dans des films. À chaque fois, elle inspire la terreur. Sa tignasse de serpents peut vous changer en pierre au moindre regard, et ce, pour l’éternité. Voilà de quoi effrayer même les plus téméraires…
Je me suis rendu compte que je ne connaissais que partiellement l’histoire de Méduse. En effet, toute sa famille m’était encore inconnue, mis à part les Grées, ces femmes nées vieilles qui se partagent un œil et une dent. Ça a donc été l’occasion de raffermir mes connaissances, tout en découvrant l’implication de Poséidon et de Athéna dans la vie de Méduse." Toute la critique de "Moi, Méduse" sur le blog Acaniel, ici
Ma note : 4/5
Je me suis rendu compte que je ne connaissais que partiellement l’histoire de Méduse. En effet, toute sa famille m’était encore inconnue, mis à part les Grées, ces femmes nées vieilles qui se partagent un œil et une dent. Ça a donc été l’occasion de raffermir mes connaissances, tout en découvrant l’implication de Poséidon et de Athéna dans la vie de Méduse." Toute la critique de "Moi, Méduse" sur le blog Acaniel, ici
Ma note : 4/5
"Encore une fois, en adoptant un autre point de vue, Sylvie Baussier interroge notre perception du monde, et les certitudes ancrées par la version du héros, du vainqueur, dont on ne peut que constater les torts. Le rusé Ulysse est prétentieux, cruel, moqueur, fourbe, et sa peine méritée pour ce qu’il a infligé à Polyphème. Méduse, comme la quasi totalité des personnages féminins des mythes grecs (hormis les déesses) ne reçoit aucune considération, n’a aucun droit, elle n’est vue que comme un objet, dont on (les dieux et les hommes) se sert pour son plaisir quel qu’il soit.
Tous deux sont des êtres sensibles, n’ont pas choisi d’être des monstres ou vus comme tels.
On apprécie toujours le dossier d’une vingtaine de pages, bien illustré qui plus est, pour continuer d’interroger le mythe, ses sources et son évolution au fil des siècles, et les jeux pour s’assurer d’avoir bien compris les mécanismes de l’histoire.
A mettre entre toutes les petites mains, en classe ou à la maison, pour apprendr eà mieux regarder l’Autre." Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope", et "Moi, Méduse" sur le blog yozone, ici
"Celui que je vous présente évoque Polyphème, le cyclope. C’est au cours de cette histoire, plutôt courte, que l’on se met à la place de ce cyclope et de ses frères. Ils vivent sur l’île des Cyclopes, apparentée désormais à la Sicile. Mais une menace prophétique assombrit le destin de Polyphème : un être humain, nommé Ulysse, lui fera du mal. […] On découvre la vie de Polyphème, un berger, calme en apparence, qui profite de la quiétude de son île. Moqué par ses pairs, il ne se différencie pas par son intelligence, mais par sa naïveté. Alors, quand Ulysse finir par débarquer pour se ravitailler, comment accepter que ces petits êtres viennent piller sa nourriture et ses bêtes sans lui demander son consentement ?" Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope sur le blog Acaniel, ici
Ma note : 4/5"⭐️⭐️⭐️⭐️,5/5. (...) J’avais très hâte de découvrir cette collection mythologie publiée par les éditions Scrineo (notamment grâce aux couvertures de dingue) et je n’ai pas été déçue une seule seconde ! En effet, je suis une grande fan de mythologie grecque et pourtant ce roman m’a quand même appris de nouvelles informations sur le mythe de Méduse.
J’ai beaucoup aimé cette façon originale de raconter l’histoire de Méduse puisque pour une fois celle-ci n’est pas racontée via le regard d’un héros conquérant. De plus, cela nous permet d’avoir de l’empathie pour Méduse puisque l’on comprend pourquoi la jeune femme est devenue un « monstre ». Finalement, peut-être n’était-elle qu’une victime...? Qui est le vrai « méchant » ici ?" Toute la critique de Moi, Méduse, sur Capharnaum livresque, ici
Ce roman très bien écrit m’a vraiment permis de découvrir d’un œil nouveau (petit jeu de mot !) l’histoire de Polyphème et de sa rencontre avec Ulysse. Je trouve le concept vraiment génial, il nous montre ainsi que les méchants dans les histoires ne sont pas toujours les vrais méchants, tout est une question de point de vue. Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope sur le blog Focus littérature, ici
" […] J’avoue avoir eu une préférence pour l’histoire de Polyphème mais celle de Méduse est aussi très poignante, sans doute parce qu’elle aborde des sujets qui sont toujours d’actualité. Elle peut facilement faire écho à ce qui arrive à des centaines de personnes encore aujourd’hui et si c’est glaçant et un peu moins facile à lire (surtout pour de jeunes lecteurs selon moi), ça rend le roman d’autant plus important. Bref, deux nouveaux titres pour une collection que j’apprécie énormément. Elle offre une nouvelle vision des mythes que j’adore et fait passer des messages de tolérance et de compréhension vraiment forts ! Vivement les prochains titres !" Toute la critique de Polyphème et de Méduse est à lire sur le blog muffinsandsbooks, ici
"Ulysse et ses hommes entrent chez Polyphème et font comme chez eux. Apprécieraient-ils le contraire ? C'est peu sûr. En plus, ils se moquent du géant.L'histoire aurait été bien différente si Ulysse et les siens s'étaient présentés." Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope à retrouver sur le blog Blondes et littéraires, ici
"J'aime beaucoup le concept de cette collection et son format. L'histoire est courte mais enrichie par le dossier qui permet d'aller plus loin, les jeux qui permettent de mieux intégrer l'histoire et sa lecture de manière ludique, et un rappel des personnages avant de commencer afin de savoir qui est qui ou qui est quoi. Parfait pour un lecteur qui ne connaitrait pas du tout le mythe dont on parle. En plus d'être une histoire très bien racontée." Toute la critique de Moi, Méduse sur le blog Blondes et littéraires, ici
" [...] C’est donc une totale réussite pour moi. Les chapitres sont courts et bien rythmés. On entre vraiment en profondeur dans les personnages qui nous transportent dans leur univers. Celui-ci est assez complexe mais Sylvie Baussier reste présente et nous donne suffisamment d’informations pour tout comprendre et profiter pleinement de l’histoire. " Toute la critique très fouillée de Moi, Ligia, sirène, sur le blog Les chroniques de Laulitta, ici
Tous deux sont des êtres sensibles, n’ont pas choisi d’être des monstres ou vus comme tels.
On apprécie toujours le dossier d’une vingtaine de pages, bien illustré qui plus est, pour continuer d’interroger le mythe, ses sources et son évolution au fil des siècles, et les jeux pour s’assurer d’avoir bien compris les mécanismes de l’histoire.
A mettre entre toutes les petites mains, en classe ou à la maison, pour apprendr eà mieux regarder l’Autre." Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope", et "Moi, Méduse" sur le blog yozone, ici
"Celui que je vous présente évoque Polyphème, le cyclope. C’est au cours de cette histoire, plutôt courte, que l’on se met à la place de ce cyclope et de ses frères. Ils vivent sur l’île des Cyclopes, apparentée désormais à la Sicile. Mais une menace prophétique assombrit le destin de Polyphème : un être humain, nommé Ulysse, lui fera du mal. […] On découvre la vie de Polyphème, un berger, calme en apparence, qui profite de la quiétude de son île. Moqué par ses pairs, il ne se différencie pas par son intelligence, mais par sa naïveté. Alors, quand Ulysse finir par débarquer pour se ravitailler, comment accepter que ces petits êtres viennent piller sa nourriture et ses bêtes sans lui demander son consentement ?" Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope sur le blog Acaniel, ici
Ma note : 4/5"⭐️⭐️⭐️⭐️,5/5. (...) J’avais très hâte de découvrir cette collection mythologie publiée par les éditions Scrineo (notamment grâce aux couvertures de dingue) et je n’ai pas été déçue une seule seconde ! En effet, je suis une grande fan de mythologie grecque et pourtant ce roman m’a quand même appris de nouvelles informations sur le mythe de Méduse.
J’ai beaucoup aimé cette façon originale de raconter l’histoire de Méduse puisque pour une fois celle-ci n’est pas racontée via le regard d’un héros conquérant. De plus, cela nous permet d’avoir de l’empathie pour Méduse puisque l’on comprend pourquoi la jeune femme est devenue un « monstre ». Finalement, peut-être n’était-elle qu’une victime...? Qui est le vrai « méchant » ici ?" Toute la critique de Moi, Méduse, sur Capharnaum livresque, ici
Ce roman très bien écrit m’a vraiment permis de découvrir d’un œil nouveau (petit jeu de mot !) l’histoire de Polyphème et de sa rencontre avec Ulysse. Je trouve le concept vraiment génial, il nous montre ainsi que les méchants dans les histoires ne sont pas toujours les vrais méchants, tout est une question de point de vue. Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope sur le blog Focus littérature, ici
" […] J’avoue avoir eu une préférence pour l’histoire de Polyphème mais celle de Méduse est aussi très poignante, sans doute parce qu’elle aborde des sujets qui sont toujours d’actualité. Elle peut facilement faire écho à ce qui arrive à des centaines de personnes encore aujourd’hui et si c’est glaçant et un peu moins facile à lire (surtout pour de jeunes lecteurs selon moi), ça rend le roman d’autant plus important. Bref, deux nouveaux titres pour une collection que j’apprécie énormément. Elle offre une nouvelle vision des mythes que j’adore et fait passer des messages de tolérance et de compréhension vraiment forts ! Vivement les prochains titres !" Toute la critique de Polyphème et de Méduse est à lire sur le blog muffinsandsbooks, ici
"Ulysse et ses hommes entrent chez Polyphème et font comme chez eux. Apprécieraient-ils le contraire ? C'est peu sûr. En plus, ils se moquent du géant.L'histoire aurait été bien différente si Ulysse et les siens s'étaient présentés." Toute la critique de Moi, Polyphème, cyclope à retrouver sur le blog Blondes et littéraires, ici
"J'aime beaucoup le concept de cette collection et son format. L'histoire est courte mais enrichie par le dossier qui permet d'aller plus loin, les jeux qui permettent de mieux intégrer l'histoire et sa lecture de manière ludique, et un rappel des personnages avant de commencer afin de savoir qui est qui ou qui est quoi. Parfait pour un lecteur qui ne connaitrait pas du tout le mythe dont on parle. En plus d'être une histoire très bien racontée." Toute la critique de Moi, Méduse sur le blog Blondes et littéraires, ici
" [...] C’est donc une totale réussite pour moi. Les chapitres sont courts et bien rythmés. On entre vraiment en profondeur dans les personnages qui nous transportent dans leur univers. Celui-ci est assez complexe mais Sylvie Baussier reste présente et nous donne suffisamment d’informations pour tout comprendre et profiter pleinement de l’histoire. " Toute la critique très fouillée de Moi, Ligia, sirène, sur le blog Les chroniques de Laulitta, ici
"[…] Au-delà du point de vue original de cette histoire et du sort de ces deux sœurs condamnées à une vie de solitude, d’attente et de souffrance, j’ai apprécié l’accessibilité de ce roman qui met la mythologie grecque à la portée des enfants : rappels succincts et illustrés des personnages mythologiques apparaissant au cours de l’histoire, plume fluide, chapitres courts, texte aéré, un point sur le mythe des sirènes intéressant, un cahier de jeux… Tout est mis en place pour faciliter l’expérience de lecture des jeunes lecteurs, et leur permettre de son plonger sans réserve dans l’histoire de Ligia et de sa sœur.
En conclusion, avec Moi, Ligia, Sirène, l’autrice offre aux enfants une porte d’entrée intéressante sur la mythologie grecque à travers non pas le point de vue d’un héros de légende, mais celui d’un monstre qui n’en est peut-être pas vraiment un. Touchant, accessible et captivant, voici un court roman jeunesse qui devrait plaire aux enfants, mais aussi aux adultes appréciant la mythologie et les textes emplis de sensibilité." Toute la critique de Moi, Ligia, sirène sur le site lightandsmell, ici
"Encore une fois, Sylvie Baussier transmet un message simple, mais crucial aux plus jeunes : les apparences sont souvent trompeuses ! Elle va néanmoins plus loin en révélant les raisons qui poussent Ligia à piéger les marins. Après tout, elle est la victime d’une malédiction. Dès lors, qui est le méchant de l’histoire ? Y en a-t-il seulement un ? Autant de sujets de réflexion sur lesquels les enfants pourront s’attarder après une lecture rapide et sans temps morts." Toute la critique de Moi, Ligia, sirène sur le blog Les Fantasy d'Amanda, ici
"Ce roman se lit très bien, on s’attache à Méduse qui apparait plus comme une victime d’Athéna et de Poséidon que comme un monstre !
En fin d’ouvrage un très bon et court documentaire nous explique le mythe de Méduse et Persée et quelques pages de jeux permettent de vérifier la compréhension de l’histoire." "Moi, Méduse" est dans la sélection Opalivres 2021, ici
A propos de "Moi Cerbère, gardien des enfers" : "… Tout au long du récit, on ressent la solitude et le désespoir de Cerbère: "Je pleure sur la faim qui tenaille mon ventre, sur l'ennui qui tisse mes jours, sur ma liberté perdue et ma famille inaccessible". Bien loin de son image de monstre, Cerbère donne plutôt l'impression d'être un pauvre chien malheureux. J'ai aimé le fait qu'il ait des pensées contradictoires simultanées, chacune issue de ses trois cerveaux. Cerbère l'agressif, celui qui a peur et celui qui réconforte se côtoient dans une certaine subtilité de l'être, révélant chacune un aspect différent de sa personnalité.… " Toute la critique de "Moi Cerbère, gardien des enfers" sur le blog Takalirsa, ici
En fin d’ouvrage un très bon et court documentaire nous explique le mythe de Méduse et Persée et quelques pages de jeux permettent de vérifier la compréhension de l’histoire." "Moi, Méduse" est dans la sélection Opalivres 2021, ici
A propos de "Moi Cerbère, gardien des enfers" : "… Tout au long du récit, on ressent la solitude et le désespoir de Cerbère: "Je pleure sur la faim qui tenaille mon ventre, sur l'ennui qui tisse mes jours, sur ma liberté perdue et ma famille inaccessible". Bien loin de son image de monstre, Cerbère donne plutôt l'impression d'être un pauvre chien malheureux. J'ai aimé le fait qu'il ait des pensées contradictoires simultanées, chacune issue de ses trois cerveaux. Cerbère l'agressif, celui qui a peur et celui qui réconforte se côtoient dans une certaine subtilité de l'être, révélant chacune un aspect différent de sa personnalité.… " Toute la critique de "Moi Cerbère, gardien des enfers" sur le blog Takalirsa, ici
"…Donc, Charybde est un récit à plusieurs niveaux, riche, difficile mais abordable aussi. Il met peut-être aussi plus les travers de notre société actuelle en avant que les autres romans de la collection. Collection que je recommande toujours autant d'ailleurs, et j'ai hâte de découvrir qui seront les prochains héros à être mis sur le devant de la scène." Toute la critique, très fouillée, de "Moi Charybde, piégée avec Scylla", sur le site Babelio, ici
"Toujours impatiente de retrouver les nouvelles parutions de la collection Scrinéo Mythologie, j’ai tout de suite été voir mon libraire. D’autant plus que Cerbère était un peu un mystère pour moi. Je savais qui il était, mais sans plus. Donc, l’occasion d’en apprendre plus sur ce chien à trois têtes.
Sans surprise, j’ai encore une fois beaucoup aimé le court roman. Sylvie Baussier arrive vraiment à se mettre dans la peau du personnage, et je trouve le développement de l’histoire et de la personnalité toujours réussis. Ici, nous rencontrons donc Cerbère, le fameux gardien des Enfers. Pour moi, il n’était au final que cela. Le chien à trois têtes qui empêche les morts de sortir et les vivants d’entrer. Et grâce à ce roman, on en découvre beaucoup plus, mais on voit aussi l’être derrière le monstre. […]
Bien sûr, on peut se mettre au niveau du canidé en tant que tel. Un animal, mais je trouve que cela s’applique aussi à tous les êtres vivants, nous y compris. Ici, on voit combien le fait de priver un être de liberté peut altérer le comportement, tout comme les mauvais traitements. On ne naît pas mauvais pour moi, et c’est ici encore une illustration de cela. Un chien, comme d’autres animaux, a besoin d’espace, de jeux, d’interaction. L’auteur ne pousse pas, je pense, jusqu’à l’idée de maltraitance animale, mais c’est une piqûre de rappel qui ne fait pas de mal.
Il y a aussi l’idée d’exploiter les trois têtes de Cerbère dans le sens où, le gardien à trois cerveaux différents et donc trois façons de penser. Ou pas… Après tout, nous aussi avec notre unique cerveau, nous avons aussi parfois ces petites voix intérieures qui parfois nous aident, et parfois nous tire vers le bas. Cerbère en devient encore plus humain, en un sens." Toute la critique de Cerbère, chien des enfers est à retrouver ici sur le blog Loticadream
"Arachné est dépeinte comme quelqu’un d’orgueilleux et de méprisant dans la légende et pourtant en la suivant dans l’histoire de Sylvie Baussier nous découvrons une jeune femme autodidacte qui a fait en sorte de parfaire son art. Au prix d’efforts et de persévérance, elle a réussi à devenir une tisseuse reconnue dans toute la Grèce. Elle ne s’en vante pas, elle en souffre même un peu, car certains la jalousent. Mais la jeune femme continue de créer et d’explorer son talent. Jusqu’au jour où Athéna a vent de son don…
Sans surprise, la déesse, jalouse au possible, et qui subit une humiliation bien méritée, se venge sans vergogne. Au lieu de louer le talent de l’humaine qu’elle est censée protéger, d’honorer la femme indépendante et talentueuse qu’est Arachné, non, elle décide d’agir de façon puérile, car c’est ELLE la déesse toute puissante. Pour ma part, j’y ai vu une certaine critique de notre société (comme à chaque fois). Par rapport aux tout puissants qui se croient au-dessus des autres. Politiciens, hommes d’affaires… peu importe. Le fait d’avoir le pouvoir est pour certains synonyme d’être au-dessus des autres, ce qui en soi, n’est pas vrai." Toute la critique de "Moi, Arachné, la tisseuse" sur le blog Loticadream, ici
"Pour moi, Chiron, c'est le directeur du camp des demi-dieux dans Percy Jackson… Oui, je sais… Alors découvrir le vrai mythe, c'était plutôt une bonne chose, non ?
J'avoue avoir beaucoup apprécié Moi, Chiron, Centaure en particulier parce qu'il sort du cadre de tous les autres tomes de la collection. L'histoire du Centaure n'est pas une descente aux enfers, elle montre même Artémis et son jumeau Appolon sous un très bon jour. Et pour une fois, voir les dieux se comporter aussi bien, et parfois se montrer humbles, cela fait du bien. Certes Chiron est le fils de Cronos et donc une déité, mais Artémis n'en est pas certaine au tout début de leur rencontre, et pourtant, elle se montre gentille envers le jeune centaure.
Sylvie Baussier essaye ici de mettre en avant une créature de la mythologie grecque qui est peu connue, et qui pourtant a des grands mérites. Faire sortir de l'ombre Chiron est donc l'occasion de le découvrir vraiment. Un être intelligent, instruit, bienveillant qui a une véritable vocation pour l'enseignement. Et cela il le doit aux jumeaux de Zeus. C'est en voulant remercier ces deux protecteurs qu'il a pris la décision de partager son savoir, et le centaure le fait avec brio." Toute la critique de Moi, Chiron, centaure, sur le site Babelio, ici
Début 2024 la collection évolue : c'est désormais aux femmes de la mythologie, celles dont on n'entend jamais la voix, que je donne la parole.
Signature en avant-première au Salon de Montreuil
Sortie en librairie le 1er février 2024
Une première critique très fouillée de Moi, Pandore, ici
Moi, Pandore, la première femme, sur le blog CapoCapes : "Nouveau titre de la collection Mythologie, celle où les héros ou les monstres racontent leur histoire, maintenant place aux femmes. J'ai beaucoup aimé, l'écriture est fluide. On apprend davantage sur le mythe de Pandore, et le destin des femmes. A lire !"
De nombreuses critiques positives de "Moi, Pandore, la première femme" sur le site de Babelio, ici
Signature en avant-première au Salon de Montreuil
Sortie en librairie le 1er février 2024
Une première critique très fouillée de Moi, Pandore, ici
Moi, Pandore, la première femme, sur le blog CapoCapes : "Nouveau titre de la collection Mythologie, celle où les héros ou les monstres racontent leur histoire, maintenant place aux femmes. J'ai beaucoup aimé, l'écriture est fluide. On apprend davantage sur le mythe de Pandore, et le destin des femmes. A lire !"
De nombreuses critiques positives de "Moi, Pandore, la première femme" sur le site de Babelio, ici
"Coucou les parents, me revoilà avec un deuxième livre pour les jeunes ! Après Pandore, voici Pénélope ! Non, pas Pénélope Cruz, Pénélope reine d’Ithaque ! Vous ne savez pas qui c’est ? Normal, en général on ne parle que d’Ulysse et son cheval de Troie… Alors voici un livre pour réviser en même temps que vos enfants…
Je vous présente Pénélope, fille de la nymphe des eaux Periboa et du roi Icarios ; c’est donc une princesse ! Elle a bien des frères, mais ils ne se rabaissent pas à jouer avec une fille ; alors pour tromper son ennui, la jeune princesse éprise de liberté, laisse traîner une oreille attentive partout où ses pas la mènent… Mais Pénélope grandit, et il est temps de la marier et évidemment, pas question de lui demander si un jeune homme lui plait ! Non, une course va être organisée et la demoiselle va tout simplement servir de trophée au vainqueur qui pourra l’épouser ! Et, vous l’aurez deviné c’est Ulysse, roi d’Ithaque qui gagne la course ! Le couple s’installe à Ithaque et Pénélope s’aperçoit vite qu’une femme ne règne pas, elle est juste là pour être aux côtés du roi ! Qu’à cela ne tienne, elle est heureuse auprès d’Ulysse et ils vont même avoir un bambin ! Mais, le bonheur sera de courte durée puisque son époux va devoir partir au loin pour libérer la belle Hélène et Pénélope va se retrouver seule à commander à Ithaque ; ce qu’elle va faire pendant vingt ans (pour le reste, lisez le livre)…
Voici une très belle histoire de princesse et un doublé gagnant pour Sylvie BAUSSIER ! Toujours un livre pour un lectorat de 8 à 12 ans environ, toujours la même qualité d’écriture, simple mais efficace ! Pour ceux qui ont raté Pandore, prenez les deux, vous ne le regretterez pas et vos enfants s’instruiront en s’amusant."
Toute la critique de "Moi, Pénélope, reine d'Ithaque" à lire sur le blog Booknode, ici
Après Pandore, je découvre la vie de Pénélope racontée par elle-même, et c'est un joli coup de coeur.
Le thème en est plus classique, et je pensais qu'il risquait d'y avoir moins d'intérêt, mais pas du tout.
Comme dit l'autrice dans la préface, on connait bien certains côtés de Pénélope, ceux qu'on veut nous montrer. Mais si on écoutait ce qu'elle a à nous dire. Toute la critique de Moi, Pénélope, reine d'Ithaque est à lire ici
"J'ai découvert cette magnifique collection avec leurs titres sur les monstres. Ceux sur Méduse ou Le Minotaure m'avaient tellement émue, que je garde un souvenir bouleversant de mes lectures. Car Sylvie Baussier nous raconte la mythologie autrement. Elle nous livre des récits intimes, poignants, en faisant parler le personnage principal du mythe. Et de fait, notre perception sur l'histoire diffère grandement. Aujourd'hui, c'est une femme que je connaissais peu qui se confie. Car sa vie était toujours racontée du point de vue d'Ulysse. C'est une superbe réécriture que j'ai trouvé ici ! Celui d'une femme forte, résiliente, d'une constance et d'un amour sans failles. Je vous recommande chaudement d'explorer la mythologie avec la plume de cette autrice, et de vous immerger dans les excellents titres de cette série !" Cette critique de "Moi, Pénélope, reine d'Ithaque" est à retrouver ici
"Destinée aux jeunes lecteur.trices, cette série de dix courts romans très bien documentés, accompagnés d’un appareil pédagogique fort utile et ludique, et très joliment écrits par Sylvie Baussier et illustrés par Tristan Gion, invite à entrer en mythologie, tout en interrogeant les marges des récits.
Et si au lieu de condamner Polyphème, l’effrayant Cyclope, Minotaure, le Monstre fabuleux, ou Méduse, la terrible Gorgone, on essayait de comprendre leur histoire ? Et si au lieu de se laisser prendre aux séductions et aux mille ruses du récit des puissant.es Athéna, Achille ou Ulysse, on écoutait celui des victimes, des invisibles Arachné la tisseuse, Chiron le Centaure, et Charybde la tourbillonnante ? Et enfin, si au discours des hommes, on substituait celui des femmes, comme l’ont fait pour des lecteurs.rices plus âgé.es Pat Barker dans Le silence des vaincues, ou encore Madeline Miller dans Circé ?
Une invitation à faire un pas de côté, à changer de point de vue, à écouter un récit différent, parce que lire c’est apprendre à interroger son regard, c’est déconstruire les préjugés, c’est partir à la découverte de l’autre…" Toute la critique de "Moi, Pandore, la première femme" est à retrouver sur le café pédagogique, ici